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L'affaire Lerouge


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4.9 stars of 5 from 60 Readers

Télécharger L'affaire Lerouge PDF En Ligne - Une femme d’une cinquantaine d’années, la veuve Lerouge, est retrouvée sauvagement assassinée dans sa maison. Tous les indices conduisent à un jeune homme de bonne famille : les preuves matérielles sont accablantes. L’assassin paraît tout désigné et l’affaire bouclée, quand le doute s’immisce dans l’esprit de l’un des enquêteurs, le père Tabaret. Certains faits le poussent à envisager le meurtre sous un autre angle, et ses découvertes...

Details of L'affaire Lerouge

Book's TitleL'affaire Lerouge
AuthorEmile Gaboriau
ISBN-102702497470
Publication's Date15/01/2003
CategoryHistoire Vraie
Tags
Customer's Rating4.9 stars of 5 from 60 Readers
Filename l-39-affaire-lerouge.pdf
Filesize27.71 MB (current server's speed is 19.64 Mbps

Besides L'affaire Lerouge, Emile Gaboriau also write another book such as Quatre jours en enfer. collection crime club n° 280, L'Action humaine : Traité d'économie, Mimi biscuit et la fée Cabosse, Un monde en pièces, La Mythologie Comparée Avec L'Histoire, Vol. 2, Le chien des Baskerville, Dix petits nègres, La Princesse des glaces, 120, rue de la Gare, Le Fauteuil hanté, Le Poulpe : La petite écuyère a ..

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En 1864, lorsque paraît la traduction définitive des "Histoires extraordinaires" d' Edgar Poe, Émile Gaboriau, retrouvant la nostalgie de sa jeunesse, voulut écrire un brillant pastiche du "Double meurtre de la rue Morgue" qu'il intitula "L'affaire Lerouge". Tout près de la porte d'Italie, une veuve, Célestine Lerouge, fut égorgée avec une sauvagerie effroyable. Le romancier, chargé par son journal, d'enquêter sur ce fait divers atroce, suivit l'affaire de très près et se prit d'amitié pour le vieux policier de la sûreté chargé de l'affaire, l'inspecteur Terabat, surnommé Tirauclair. Le véritable assassin ne fut jamais découvert mais conseillé efficacement par le policier et brodant sur la réalité, Gaboriau tira un roman de ce drame affreux. Le vieux Terabat accepta de figurer dans l'ouvrage à condition que son nom soit modifié. Il devint Tabaret dit Tirauclair. La première parution, sous forme de feuilleton dans le journal "le pays" fut un échec. Une deuxième tentative, dans les pages du "soleil" fut un succès immédiat. Du jour au lendemain, le jeune auteur connut la célébrité. Le roman policier était inventé. Il s'appelait alors le roman judiciaire. Gaboriau, s'étonnant de l'immense effet produit par son livre sur le public, résumait son art par ces quelques mots : "Le rôle du lecteur est de découvrir l'assassin, le rôle de l'auteur est de dérouter le lecteur". Pour atteindre ce but, Gaboriau s'appuyait sur une imposante bibliothèque composée de rapports policiers, de manuels de médecine légale et de traités scientifiques. Tabaret et Lecoq, sans jamais innover, ont été les premiers à introduire des détails techniques dans le roman judiciaire et policier. Ce qui a fait dire, quelques années plus tard à Maurice Dekobra : "Je parie une livre sterling contre un os à moelle et un dollar contre un tuyau de pipe que Maurice Leblanc et Conan Doyle avaient lu Émile Gaboriau de haut en bas".+ Lire la suite
Premier roman d'Émile Gaboriau, et à mon sens première réussite. Non pas que l'intrigue soit si complexe qu'on ne puisse deviner le coupable assez tôt et même une partie de la vérité, mais j'aime beaucoup sa façon de narrer les évènements. Et il y en des évènements, des retournements, qui même s'ils ne surprennent pas complètement ont pour moi un charme indéniable. Et puis l'écriture, et l'humour. le portrait de la dame Arlange dont voici un extrait est un plaisir « La plus grande preuve d'amitié qu'elle lui donnât était d'articuler son nom comme tout le monde. Elle avait conservé cette affectation si comique de ne pouvoir retenir le nom des gens qui ne sont pas nés et qui par conséquent n'existent pas. Elle tenait si fort à les défigurer que si, par inadvertance, elle prononçait bien, elle se reprenait aussitôt. Dans les premiers temps, à la grande réjouissance du juge d'instruction, elle avait estropié son nom de mille manières. Successivement elle avait dit : Taburon, Dabiron, Maliron, Laliron, Laridon. Au bout de trois mois elle disait net et franc Daburon, absolument comme s'il eût été duc de quelque chose et seigneur d'un lieu quelconque. » Ce n'est pas la seule description qui m'ait parue très savoureuse. Le départ de ce policier est l'assassinat d'une femme, la veuve Lerouge. Ce fait réel ne fut jamais expliqué, Gaboriau brode donc allègrement dessus. Amours contrariés, paternité reconnue ou pas, maitresses avides… ou non, honneur du nom auquel on sacrifie tout, c'est bien l'ambiance 19ème siècle que j'aime tant. Un coup de blues, un Simenon et ça repart, je pense que je pourrais dire la même chose pour Gaboriau, c'est ma deuxième rencontre avec lui, après monsieur Lecoq, et elle me donne envie de le revoir régulièrement. Challenge 19ème siècle+ Lire la suite
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